Les quatre
deux saisons…
En Centrafrique il n’y a que deux saisons, au lieu de quatre: la saison des pluies et la saison sèche.
La longueur des saisons varie un peu entre un point et l’autre du pays, mais ici à Bozoum, à peu près, la saison des pluies commence en Avril-Mai et se termine en Octobre-Novembre (7 mois) et la saison dure depuis Octobre-Novembre jusqu’en Mars-Avril.
Nous sommes donc en pleine saison sèche. Pas de pluie pendant cinq mois, du vent, les incendies qui dévastent la savane, et beaucoup de poussière!
Entre Novembre et Janvier la température baisse beaucoup pendant la nuit (nous avons eu jusqu'à 7 degrés!) Mais au cours de la journée, le soleil fait son devoir, et le thermomètre monte jusqu'à 34-38 degrés. Mais étant très sec, la chaleur est supportable.
Voyager est un peu plus facile que pendant les pluies ... mais il y a beaucoup de poussière!
En cette semaine qu’est-ce que nous avons fait? Un peu de tout! Lundi, nous avons femis les bulletins aux élèves de notre lycée St Augustin. Mardi après-midi réunion de coordination avec les ONG qui travaillent à Bozoum.
Mercredi après-midi, je pars pour Bouar. Je prends le risque de passer sur la route directe (110 km au lieu de 250, et 2,5 heures au lieu de 5 ...). C’est à partir de Juillet qui n'était plus possible d’y passer, pour les ponts brisés, et à cause d'un gué. Je peux passer assez bien. Mais il y a une chose qui me met en colère : c’est est que cette route est en réparation depuis 4 ans, et ce n’est pas encore achevée. Le projet a été confié à une entreprise, mais elle n'a pas terminé. L'État a pris le relais , mais les machines restent sur place, depuis plus de six mois, sans travailler ...
A Bouar je visite nos communautés de Yole et St.Elie, où les Carmes sont très engagés dans le travail éducatif et la formation.
Je passe le temps d'une réunion à l'autre, et je suis obligé à toucher des sujets très différents : la situation du pays, l'élevage de lapins, l'école, la construction d'un mur, la formation des novices, les activités de Caritas et de Justice et Paix, une recette de cuisine, l'élaboration d'un projet pour les personnes atteintes du Sida ...
Vendredi matin je quitte Bouar et j’arrive à Baoro, où je rencontre la communauté. Après le repas je reprends la route, et après un arrêt à Bossentele, j’arrive à Bozoum un peu avant 18h.
Juste le temps de saluer, et je dois courir pour réparer un câble, parce que nous sommes sans eau ... Une demi-heure, et la pompe recommence à marcher, et il y a l'eau pour tout le monde ...
En Centrafrique il n’y a que deux saisons, au lieu de quatre: la saison des pluies et la saison sèche.
La longueur des saisons varie un peu entre un point et l’autre du pays, mais ici à Bozoum, à peu près, la saison des pluies commence en Avril-Mai et se termine en Octobre-Novembre (7 mois) et la saison dure depuis Octobre-Novembre jusqu’en Mars-Avril.
Nous sommes donc en pleine saison sèche. Pas de pluie pendant cinq mois, du vent, les incendies qui dévastent la savane, et beaucoup de poussière!
Entre Novembre et Janvier la température baisse beaucoup pendant la nuit (nous avons eu jusqu'à 7 degrés!) Mais au cours de la journée, le soleil fait son devoir, et le thermomètre monte jusqu'à 34-38 degrés. Mais étant très sec, la chaleur est supportable.
Voyager est un peu plus facile que pendant les pluies ... mais il y a beaucoup de poussière!
En cette semaine qu’est-ce que nous avons fait? Un peu de tout! Lundi, nous avons femis les bulletins aux élèves de notre lycée St Augustin. Mardi après-midi réunion de coordination avec les ONG qui travaillent à Bozoum.
Mercredi après-midi, je pars pour Bouar. Je prends le risque de passer sur la route directe (110 km au lieu de 250, et 2,5 heures au lieu de 5 ...). C’est à partir de Juillet qui n'était plus possible d’y passer, pour les ponts brisés, et à cause d'un gué. Je peux passer assez bien. Mais il y a une chose qui me met en colère : c’est est que cette route est en réparation depuis 4 ans, et ce n’est pas encore achevée. Le projet a été confié à une entreprise, mais elle n'a pas terminé. L'État a pris le relais , mais les machines restent sur place, depuis plus de six mois, sans travailler ...
A Bouar je visite nos communautés de Yole et St.Elie, où les Carmes sont très engagés dans le travail éducatif et la formation.
Je passe le temps d'une réunion à l'autre, et je suis obligé à toucher des sujets très différents : la situation du pays, l'élevage de lapins, l'école, la construction d'un mur, la formation des novices, les activités de Caritas et de Justice et Paix, une recette de cuisine, l'élaboration d'un projet pour les personnes atteintes du Sida ...
Vendredi matin je quitte Bouar et j’arrive à Baoro, où je rencontre la communauté. Après le repas je reprends la route, et après un arrêt à Bossentele, j’arrive à Bozoum un peu avant 18h.
Juste le temps de saluer, et je dois courir pour réparer un câble, parce que nous sommes sans eau ... Une demi-heure, et la pompe recommence à marcher, et il y a l'eau pour tout le monde ...
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