Pas de bandits!
Pas de bandits cette semaine!
Jeudi 26 octobre, après une nuit un peu agitée par le souvenir récent des bandits, nous sommes partis à 5h du matin pour Bangui. J’y amène quatre sœurs indiennes (dont 2 supérieures, qui voyagent le vendredi au Soudan) et les Pères Andrea, Lorenzo et Davide qui sont venus pour les grandes fêtes des Ordinations.
Pas de bandits cette semaine!
Jeudi 26 octobre, après une nuit un peu agitée par le souvenir récent des bandits, nous sommes partis à 5h du matin pour Bangui. J’y amène quatre sœurs indiennes (dont 2 supérieures, qui voyagent le vendredi au Soudan) et les Pères Andrea, Lorenzo et Davide qui sont venus pour les grandes fêtes des Ordinations.
Malgré les
camions en convoi (escortés par des Casques bleus), nous pouvons arriver à
Bangui à 13h. Dans l'après-midi et le lendemain matin je participe à diverses
réunions, et le samedi matin je reprends la route de Bozoum.
Pendant ces dernières trois semaines, j'ai voyagé entre Bozoum, Bangui et Bouar et, en 19 jours, j'ai conduit et roulé sur plus de 3 800 km. Courage!
Entre dimanche et mercredi je reste enfin à Bozoum.
Le lundi nous avons une première rencontre avec les enseignants de notre Lycée et de Collège St.Augustin. Il s'agit de vérifier le travail en classe.
Mardi je visite l’école pour les déplacés: 8 classes, où un nombre variable (trop variable) d'élèves va à l'école. Les garçons et les filles sont entre 210 et 400 ... Les réfugiés sont indécis quant à rester à Bozoum ou revenir à Bocaranga.
Le travail éducatif est primordial. Juste au cours des dernières semaines, grâce aux bienfaiteurs (entre les Etats-Unis et nos confrères de la République tchèque), nous terminons deux écoles: une à Kpari et une à Konkere.
Courage!
Pendant ces dernières trois semaines, j'ai voyagé entre Bozoum, Bangui et Bouar et, en 19 jours, j'ai conduit et roulé sur plus de 3 800 km. Courage!
Entre dimanche et mercredi je reste enfin à Bozoum.
Le lundi nous avons une première rencontre avec les enseignants de notre Lycée et de Collège St.Augustin. Il s'agit de vérifier le travail en classe.
Mardi je visite l’école pour les déplacés: 8 classes, où un nombre variable (trop variable) d'élèves va à l'école. Les garçons et les filles sont entre 210 et 400 ... Les réfugiés sont indécis quant à rester à Bozoum ou revenir à Bocaranga.
Le travail éducatif est primordial. Juste au cours des dernières semaines, grâce aux bienfaiteurs (entre les Etats-Unis et nos confrères de la République tchèque), nous terminons deux écoles: une à Kpari et une à Konkere.
Courage!
la scuola in costruzione a Kpari, e a fianco la "scuola" attuale |
la scuola di Kpari... adesso! |
Scuola rifugiati: guardando al futuro. |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire