P.Enrico |
Adieux, riz et écoles
La vie à la Missione, la vie à Bozoum, signifie des gens qui vont et qui viennent.
Le groupe de 12 jeunes de l’ONG SIRIRI de Prague, arrivée le mardi 15 août, a beaucoup à faire. Entre le jeudi 17 et le samedi 19, tout le monde travaille à préparer la grande séance de formation avec 10 enseignants Centrafricains. Et lundi matin arrive le moment de commencer la session: il y a 244 enseignants de Bozoum et des villages, mais aussi d'autres villes: Bangui, Bossemptélé, Baoro, Bouar, Ndim et Ngaundaye. Ils sont tous enthousiastes d'apprendre et d'approfondir la nouvelle méthode «Apprendre en jouant», que beaucoup ont déjà utilisé pendant la dernière année scolaire (2016-17).
C'est beau et impressionnant de voir les enseignants participer très activement, essayer de nouvelles choses, chanter, jouer: tout cela sera mis en pratique dans de nombreuses écoles au cours de la prochaine année scolaire.
Dimanche nous profitons de la journée pour visiter les rizières de Bozoum l'après-midi. Cette année elles sont particulièrement étendues et bien soignées, car beaucoup ont compris que le riz pouvait être vendu et que le travail peut beaucoup aider leur famille.
Dimanche matin, à 8h30, nous accueillons le p.Matteo Pesce, qui vient d’arriver dans la communauté de Bozoum. Le P. Enrico Redaelli préside la célébration. Il quittera Bozoum après trois ans de travail dans les villages et la paroisse (surtout avec les jeunes). Et le saluer c’est un moment de joie, mais aussi de tristesse.
Son départ est prévu pour le jeudi 24 août. Mais il pleut ... Nous pensons de partir plus tard, mais la pluie tombe jusqu'à midi. Nous partons à 13h30, mais après 15 km, l'une des deux voitures s’arrête. Je rentre à Bozoum pour chercher le mécanicien, qui va la réparer. Il résout le problème, mais désormais il est 16h, et il est trop tard pour partir, car il y a 250 km de mauvaise route.
Nous essayons à nouveau le vendredi à 05h30, et à 11 nous arrivons à Bouar, où toute la communauté de Saint-Élie nous accueille avec une petite cérémonie, simple et émouvante: nous allons en chantant dans la l'église de la communauté, où le p.Enrico (nouveau supérieur et nouveau maître des novices) confie son ministère à l'intercession des Saints du Carmel.
Celle de St. Elie est une communauté jeune, où il y a quatre pères, 3 novices (et 7 autres jeunes qui commenceront leur noviciat dans quelques semaines) et trois postulants (des jeunes qui s’approchent à la vie religieuse).
La vie à la Missione, la vie à Bozoum, signifie des gens qui vont et qui viennent.
Le groupe de 12 jeunes de l’ONG SIRIRI de Prague, arrivée le mardi 15 août, a beaucoup à faire. Entre le jeudi 17 et le samedi 19, tout le monde travaille à préparer la grande séance de formation avec 10 enseignants Centrafricains. Et lundi matin arrive le moment de commencer la session: il y a 244 enseignants de Bozoum et des villages, mais aussi d'autres villes: Bangui, Bossemptélé, Baoro, Bouar, Ndim et Ngaundaye. Ils sont tous enthousiastes d'apprendre et d'approfondir la nouvelle méthode «Apprendre en jouant», que beaucoup ont déjà utilisé pendant la dernière année scolaire (2016-17).
C'est beau et impressionnant de voir les enseignants participer très activement, essayer de nouvelles choses, chanter, jouer: tout cela sera mis en pratique dans de nombreuses écoles au cours de la prochaine année scolaire.
Dimanche nous profitons de la journée pour visiter les rizières de Bozoum l'après-midi. Cette année elles sont particulièrement étendues et bien soignées, car beaucoup ont compris que le riz pouvait être vendu et que le travail peut beaucoup aider leur famille.
Dimanche matin, à 8h30, nous accueillons le p.Matteo Pesce, qui vient d’arriver dans la communauté de Bozoum. Le P. Enrico Redaelli préside la célébration. Il quittera Bozoum après trois ans de travail dans les villages et la paroisse (surtout avec les jeunes). Et le saluer c’est un moment de joie, mais aussi de tristesse.
Son départ est prévu pour le jeudi 24 août. Mais il pleut ... Nous pensons de partir plus tard, mais la pluie tombe jusqu'à midi. Nous partons à 13h30, mais après 15 km, l'une des deux voitures s’arrête. Je rentre à Bozoum pour chercher le mécanicien, qui va la réparer. Il résout le problème, mais désormais il est 16h, et il est trop tard pour partir, car il y a 250 km de mauvaise route.
Nous essayons à nouveau le vendredi à 05h30, et à 11 nous arrivons à Bouar, où toute la communauté de Saint-Élie nous accueille avec une petite cérémonie, simple et émouvante: nous allons en chantant dans la l'église de la communauté, où le p.Enrico (nouveau supérieur et nouveau maître des novices) confie son ministère à l'intercession des Saints du Carmel.
Celle de St. Elie est une communauté jeune, où il y a quatre pères, 3 novices (et 7 autres jeunes qui commenceront leur noviciat dans quelques semaines) et trois postulants (des jeunes qui s’approchent à la vie religieuse).
Beaucoup de
jeunes, et beaucoup d'espoir. Ils
sont l'avenir du pays, de l'Église et du Carmel en Centrafrique.
Le risaie di Bozoum une des rizières de Bozoum |
Il mercato di Bozoum la marché de Bozoum |
Formazione insegnanti |
P.Enrico à St Elie |