Cameroun
Arrivé vendredi en fin de matinée à Yaoundé, capitale du Cameroun, j’y suis resté pendant quelques jours.
Samedi, le 16 Juillet, nous avons célébré ensemble avec les Carmes la grande fête de Notre-Dame du Mont Carmel. La célébration a lieu dans notre paroisse de Nkoabang, qui fête ses 60 ans depuis sa fondation. Avec quelques pères italiens, le Provincial de la Province de Milan (responsable de la Mission au Cameroun) les frères camerounais, nous prions ensemble la Vierge Marie, que nous vénérons comme Mère et Beauté du Carmel, exemple et guide dans la vie de la consécration et de la prière, elle qui «méditait ces évènements dans son cœur», comme disent les Evangiles.
Le dimanche nous nous trouvons à nouveau ensemble pour un autre moment très intense: l'ordination de deux jeunes carmes camerounais: le fr.Martial et le fr. Jean Baptiste. Il y a beaucoup de prêtres qui ont concélébré avec l'archevêque de Yaoundé. Il y a beaucoup de prière, mais aussi beaucoup de beaux chants et une liturgie très animée et participée.
Dans l'après-midi je vais chez les Carmélites. Au Cameroun il y a trois monastères, et dans celui de Yaounde il y a quelques religieuses Italiennes et d'autres Camerounaises. Je reste avec elles pendant quelques heures, et je présente la Mission en Centrafrique, et je parle longuement de la visite du Pape à Bangui.
La Centrafrique est l'un des rares pays où il n'y a pas encore les carmelites de clôture ! Et nous prions et espérons que, tôt ou tard, il y aura un monastère de Carmelites, ces femmes pleines de Dieu, pleines d'humanité.
Lundi matin je commence le voyage de retour. Je pars à 6h, et vers 17h, après environ 750 km, j’arrive à Bouar, où je passe et je repars le lendemain. Je passe par la route directe, ce qui me permet d'économiser 150 km. J'ai un peu peur, parce que quelques jours avant un confrère, p.Anastasio, est resté coincé sur un pont, avec la machine en équilibre instable... Dieu merci, je peux passer et à 11h30 je suis enfin à la maison, à Bozoum.
Ici le travail progresse, et jeudi nous avons posé la première des trois parties de la grande charpente de 31 mètres. Voici une petite vidéo: https://www.dropbox.com/s/78puqotf6aqlmc8/luglio%201%20HD.mp4?dl=0
Arrivé vendredi en fin de matinée à Yaoundé, capitale du Cameroun, j’y suis resté pendant quelques jours.
Samedi, le 16 Juillet, nous avons célébré ensemble avec les Carmes la grande fête de Notre-Dame du Mont Carmel. La célébration a lieu dans notre paroisse de Nkoabang, qui fête ses 60 ans depuis sa fondation. Avec quelques pères italiens, le Provincial de la Province de Milan (responsable de la Mission au Cameroun) les frères camerounais, nous prions ensemble la Vierge Marie, que nous vénérons comme Mère et Beauté du Carmel, exemple et guide dans la vie de la consécration et de la prière, elle qui «méditait ces évènements dans son cœur», comme disent les Evangiles.
Le dimanche nous nous trouvons à nouveau ensemble pour un autre moment très intense: l'ordination de deux jeunes carmes camerounais: le fr.Martial et le fr. Jean Baptiste. Il y a beaucoup de prêtres qui ont concélébré avec l'archevêque de Yaoundé. Il y a beaucoup de prière, mais aussi beaucoup de beaux chants et une liturgie très animée et participée.
Dans l'après-midi je vais chez les Carmélites. Au Cameroun il y a trois monastères, et dans celui de Yaounde il y a quelques religieuses Italiennes et d'autres Camerounaises. Je reste avec elles pendant quelques heures, et je présente la Mission en Centrafrique, et je parle longuement de la visite du Pape à Bangui.
La Centrafrique est l'un des rares pays où il n'y a pas encore les carmelites de clôture ! Et nous prions et espérons que, tôt ou tard, il y aura un monastère de Carmelites, ces femmes pleines de Dieu, pleines d'humanité.
Lundi matin je commence le voyage de retour. Je pars à 6h, et vers 17h, après environ 750 km, j’arrive à Bouar, où je passe et je repars le lendemain. Je passe par la route directe, ce qui me permet d'économiser 150 km. J'ai un peu peur, parce que quelques jours avant un confrère, p.Anastasio, est resté coincé sur un pont, avec la machine en équilibre instable... Dieu merci, je peux passer et à 11h30 je suis enfin à la maison, à Bozoum.
Ici le travail progresse, et jeudi nous avons posé la première des trois parties de la grande charpente de 31 mètres. Voici une petite vidéo: https://www.dropbox.com/s/78puqotf6aqlmc8/luglio%201%20HD.mp4?dl=0
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