Les richesses de
la Centrafrique
Il est vrai qu'en Centrafrique il n'y a pas beaucoup d'argent, mais il y en a quand même un peu ! Les salaires, en particulier pour les fonctionnaires et les enseignants, quelques boutiques, de nombreuses activités informelles, et les fruits du travail agricole permettent à la population d'avoir assez pour vivre. L'une des difficultés de la population est d'avoir un endroit sûr pour déposer leur épargne. Parfois ils ont besoin d'avoir un petit crédit pour payer les écoles, ou pour démarrer une petite entreprise. Et c’est précisément pour cette raison qu'en 2007 nous avons crée la Caisse d'épargne et de crédit Bozoum. Actuellement elle est reconnue à la fois par l’Etat et par la COBAC, l’autorité de l’Afrique Centrale qui supervise les instituts de microfinance.
La Caisse dispose de 5 guichets: Bozoum, Bocaranga, Koui, Ndim et Ngaundaye.
En plus du service d'épargne, il donne des prêts et offre également la possibilité de transférer de l'argent entre les guichets et entre Bozoum et la capitale.
Samedi dernier le siège de Bozoum a eu son Assemblée générale. Et les résultats qui ont été présentés sont impressionnants. Seulement ici à Bozoum il y a 2.253 membres avec un compte actif. Si chaque compte correspond à une famille, il y a entre 11.000 et 13.000 habitants qui ont un compte dans notre Caisse. Ce qui signifie que plus de la moitié de la population est affectée par ce service!
Le montant total de l'argent déposé dépasse 186.000 Euros!
C’est un grand travail pour servir les gens, qui contribue à augmenter la capacité d’épargner et de créer le développement.
Il est vrai qu'en Centrafrique il n'y a pas beaucoup d'argent, mais il y en a quand même un peu ! Les salaires, en particulier pour les fonctionnaires et les enseignants, quelques boutiques, de nombreuses activités informelles, et les fruits du travail agricole permettent à la population d'avoir assez pour vivre. L'une des difficultés de la population est d'avoir un endroit sûr pour déposer leur épargne. Parfois ils ont besoin d'avoir un petit crédit pour payer les écoles, ou pour démarrer une petite entreprise. Et c’est précisément pour cette raison qu'en 2007 nous avons crée la Caisse d'épargne et de crédit Bozoum. Actuellement elle est reconnue à la fois par l’Etat et par la COBAC, l’autorité de l’Afrique Centrale qui supervise les instituts de microfinance.
La Caisse dispose de 5 guichets: Bozoum, Bocaranga, Koui, Ndim et Ngaundaye.
En plus du service d'épargne, il donne des prêts et offre également la possibilité de transférer de l'argent entre les guichets et entre Bozoum et la capitale.
Samedi dernier le siège de Bozoum a eu son Assemblée générale. Et les résultats qui ont été présentés sont impressionnants. Seulement ici à Bozoum il y a 2.253 membres avec un compte actif. Si chaque compte correspond à une famille, il y a entre 11.000 et 13.000 habitants qui ont un compte dans notre Caisse. Ce qui signifie que plus de la moitié de la population est affectée par ce service!
Le montant total de l'argent déposé dépasse 186.000 Euros!
C’est un grand travail pour servir les gens, qui contribue à augmenter la capacité d’épargner et de créer le développement.
Cette semaine nous
avançons avec les travaux d'extension de l'église, malgré la pluie.
Et mercredi je
pars pour Bangui, avec un carme français, p.Jean Baptiste, qui est venu pour
une formation pour nos jeunes. Jeudi
matin, nous sommes réunis pour la prière
et pour la Messe, et il est beau de voir ce groupe de jeunes: il y a des
étudiants de philosophie et de théologie, les novices, les postulants et les
jeunes de notre séminaire de Yolé. Il y a aussi nos
jeunes étudiants du Cameroun.
A 8.30 p.Jean Baptiste commence une formation sur saint Jean de la Croix, notre fondateur, dont une phrase de ses œuvres est affichée dans la salle: «au soir de la vie, nous serons jugés sur l'Amour".
A 8.30 p.Jean Baptiste commence une formation sur saint Jean de la Croix, notre fondateur, dont une phrase de ses œuvres est affichée dans la salle: «au soir de la vie, nous serons jugés sur l'Amour".
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